Conseil municipal du 7 décembre Vénissieux

Clientélisme ? Plagiat ? Rien n’a changé !

Camille Champavère, Farid Ben Moussa et Lotfi Ben Khelifa

Hier, avec Camille et Farid, nous avons participé au conseil municipal de Vénissieux, pas moins de 45 rapports avec des interventions interminables. On se demande bien pourquoi il n y a pas de conseils municipaux chaque mois pour alléger l’ordre du jour ?

Nous sommes intervenus sur le règlement intérieur du conseil municipal qui ne mentionne aucun droit pour les élus de l’opposition. Nous avons rappelé au maire que l’utilisation des véhicules de service de la ville par sa première adjointe et elle-même, était réglementée.

Nous sommes intervenus sur le développement durable, parce que nous considérons que la ville n’en fait pas assez et que les discours doivent coller aux actes.

Puis, nous avons écouté, le maire sur son orientation budgétaire. Débattre, avec les communistes – illusion – une équipe sourde et dans le déni. Notre ville sombre dans la misère parce que le maire n’a pas d’audace, ni d’ambition, ni de courage ! Sauf à augmenter les tarifs sociaux +2%, rien que ça !

Et comme dans notre pays les évolutions de la société ne se font qu’a coup de loi et de décret, est arrivé le rapport obligatoire sur l’égalité entre les femmes et les hommes. On aurait pensé que le maire, vu ses prises de position féministe, serait proactive en la matière. Que nenni ! Quelle déception pour les femmes qui travaillent au sein de la collectivité, même frilosité sur pour le plan d’action pluriannuelle égalité Femme / Homme

Plagiat création d’un service d’une garderie, Quand on n’a pas idée, on pique celle des autres ! Comme pour « les repas avec et sans viande »….sans conviction, sans tabou, sans gêne, sans honte, sans vergogne, la mairie met en place ce service, alors que nous portons ces propositions depuis 2014

Clientélisme ? Plan de soutien aux associations Vénissieux Aujourd’hui pour demain. Il y a les associations choisies par la mairie en vase clos, sans aucune transparence, qui bénéficieront de deux subventions et il y a les autres, celles qui n’auront rien, malgré ce contexte de crise sanitaire et leur investissement au quotidien sur le terrain.

 

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