Un contexte national peu favorable au PS, une campagne extrêmement courte, une abstention record, la prime au sortant… les conditions n’étaient pas forcément réunies pour  l’emporter à Vénissieux dimanche.

Et pourtant, avec mes 48 co-listiers nous avons défendu un programme, nous avons mené une campagne propre, nous avons mobilisé les abstentionnistes…

Ce n’est que la deuxième fois en 80 ans que le parti socialiste présente une liste autonome à Vénissieux. Mais, comme le dit la plaisante sagesse lyonnaise, il faut “donner du temps au temps”.

En deux ans, nous nous sommes installés dans le paysage politique vénissian, nous avons montré que nous avions un projet pour cette ville. Nous avons prouvé qu’il était possible de proposer un autre projet ç gauche pour cette commune. Plus moderne, plus ouvert, plus métropolitain.

Vénissieux est resté à gauche car c’est une commune de gauche.  Quoi qu’on pense de l’actuelle majorité, je me réjouis de ne pas voir ma ville basculer à Droite

Mais il y aura d’autres échéances électorales et la sensibilité que nous incarnons aura à nouveau l’occasion de se faire entendre, de convaincre et de progresser.

Ensemble, nous construisons aujourd’hui l’avenir d’une alternative moderne et ouverte à gauche. J’espère que nous serons chaque jour plus nombreux pour gagner demain.

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